Agence Science-Presse
Les aimants stimulent la croissance des cellules du cerveau, du moins chez la souris.
La stimulation du cerveau par un aimant entraîne l’apparition de nouveaux neurones dans les régions associées à
l’apprentissage et à la mémoire.
Si les aimants provoquaient les mêmes effets chez les humains, cette découverte permettrait le développement de nouveaux traitements pour freiner le déclin de la mémoire associé à l’âge et à certaines maladies comme l’Alzheimer.
La stimulation magnétique trancrâniale est déjà utilisée de façon expérimentale pour traiter différents désordres neurologiques incluant la dépression, la schizophrénie et pour la réhabilitation des personnes victimes d’accidents cérébrovasculaire.
Source:
O'Daïko
Quelque chose qui fonctionne mal est souvent bien pire que quelque chose qui ne fonctionne pas !