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 La neurologie au service la pub

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O'Daïko

O'Daïko


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MessageSujet: La neurologie au service la pub   La neurologie au service la pub EmptyLun 20 Aoû - 2:17

Citation :
La neurologie au service la pub

19 août 2007 - 09h42

La Presse

Mathieu Perreault



La publicité a une réputation sulfureuse. Elle nous incite parfois à acheter des choses superflues.

Mais une nouvelle approche pourrait être encore plus dévastatrice pour le porte-monnaie: le neuromarketing. Basé sur les travaux de neurologues qui ont étudié le processus de prise de décision, le neuromarketing veut titiller plus efficacement le subconscient des magasineurs. Certains d'entre eux craignent d'être transformés en marionnettes.

«Pour vendre un produit, il faut s'imaginer que tous les clients ont 4 ans, même s'il s'agit de physiciens nucléaires qui magasinent un scanner de plusieurs millions de dollars.»

Suite & source

Citation :
Neuromarketing: dépendances et magasinage

19 août 2007 - 10h00

La Presse

Mathieu Perreault



Plusieurs neurologues qui s'intéressent au neuromarketing travaillent aussi sur les dépendances, qui mettent à contribution les mêmes mécanismes du cerveau.

Alain Dagher, chercheur à l'Institut neurologique de Montréal, a ainsi publié l'hiver dernier dans la prestigieuse revue Neuron un commentaire sur le neuromarketing intitulé «Shopping Centers of the Brain».

Les magasineurs pathologiques pourraient avoir des anomalies dans les zones du cerveau activées par les achats.

«Dernièrement, nous avons commencé à considérer les dépendances comme l'alcoolisme et les compulsions comme le jeu ou le magasinage pathologiques comme des désordres du processus de décision, explique Gregory Berns, psychiatre de l'Université Emory. Il s'agit de choix conscients qui ont des conséquences négatives. Or, le marketing vise justement à influer sur les choix des consommateurs. C'est pourquoi la plupart des recherches sur le neuromarketing et la neuroéconomie sont financées par l'Institut national sur l'abus de drogues.»

Source

Citation :
Le neuromarketing a expliqué le «défi Pepsi»

19 août 2007 - 09h43

La Presse

Mathieu Perreault

L'un des premiers coups d'éclat du neuromarketing a consisté à expliquer le fameux «défi Pepsi».

Même si, dans les publicités, les gens choisissent toujours Pepsi, la marque est loin derrière Coca-Cola dans les préférences des consommateurs américains.

Au goût, Pepsi et Coke sont équivalents, avec un léger avantage pour Pepsi, selon Read Montague, neuropsychologue de l'Université Baylor, au Texas.

Il a disséqué à l'aide d'un scanner IRM les zones du cerveau activées durant le test.

Dans un test à l'aveugle, les amateurs de Pepsi réagissent cinq fois plus que les amateurs de Coke, si on se fie à l'activité de la zone du cerveau liée au goût.

Mais quand les cobayes savaient ce qu'ils buvaient, la zone du cerveau associée à la réflexion devenait très agitée, beaucoup plus que la zone du goût.

Avec l'intervention des capacités cognitives du cerveau, Coca-Cola l'emportait haut la main. Cela signifie, a expliqué M. Montague dans un célèbre article publié en 2004, que l'image de marque de Coca-Cola, avec ses associations puissantes à la publicité, aux souvenirs et au statut social, joue un rôle plus important que le simple goût de la boisson gazeuse.

C'est pourquoi, même si la majorité des Américains préfèrent le goût du Pepsi, Coca-Cola domine le marché. Selon un article du New York Times, Coca-Cola avait 41% du marché américain des boissons gazeuses en 2006, contre 33% pour Pepsi.

Au Canada, les deux marques sont à égalité à 35%, avec un léger avantage pour Pepsi au Québec, peut-être à cause des fameuses publicités de Claude Meunier.

Source
Citation :

Quand la Bourse s'appuie sur le neuromarketing

19 août 2007 - 09h58

La Presse

Mathieu Perreault




Le neuromarketing peut être utilisé en finance.

En 2005, des chercheurs suisses ont démontré que, si on a un taux plus élevé d'ocytocine, une hormone qui joue un rôle dans les liens sociaux et affectifs, on fait davantage confiance à ses partenaires d'affaires et à la Bourse.

Des cobayes qui avaient reçu une dose d'ocytocine en vaporisateur nasal faisaient deux fois plus confiance à un partenaire d'affaires qui demandait leur collaboration financière.

Ces résultats pourraient être appliqués aux environnements de travail des courtiers en finance, de manière à les encourager à prendre plus ou moins de risques.

Une compagnie newyorkaise, Vero Labs, s'est servie de ces résultats pour lancer un parfum à l'ocytocine qui, prétendelle, suscite un sentiment de confiance chez les interlocuteurs du porteur du parfum.

Cela dit, il est loin d'être clair que le parfum soit suffisamment puissant pour atteindre les narines d'autrui en quantités comparables à celles de l'expérience suisse.

Vero Labs vend son parfum 50 $ US pour un flacon suffisant pour deux mois.

Source

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O'Daïko

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